✄ Café dégueu, gogo-dancers, grandes bibliothèques, parapluie tactique, ondes cérébrales... ✄

Chèr·e·s abonné·e·s, bonjour.

Cette édition de Coupé au montage sera sans doute la dernière, avant un changement de formule dans les semaines à venir. J'espère qu'elle vous plaira !

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Purée les Kimchi Overdose de septembre sont enfin finis d'imprimer et de découper. J'en ai fait des rouges et des noirs — les abonnés Patreon, si vous avez une préférence dites-le moi vite par mail, sinon ce sera choisi au hasard.

D’ailleurs, si jamais j'ai réussi à vous intriguer en parlant des œuvres de Berlinde de Bruyckere, et que vous voulez continuer sur la thématique des choses pas vraiment montrées ni dites, vous pouvez vous imaginer l'expo en écoutant ce podcast de Slate (l'art contemporain c'est très radiophonique).

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Ah oui aussi : le nouveau numéro de Climax est sorti ! Il a une couverture fabuleuse et un titre qui parlera certainement aux plus quadragénaires d'entre vous.

J'y ai notamment commis un test de personnalité et un article sur un pionnier oublié des panneaux solaires. Vous pouvez le commander ou vous abonner sur cette page.

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Il y a une quinzaine d'années j'ai traversé une période d'obsession pour les machines à café, comme il arrive parfois aux nerds qui commencent à avoir des revenus disponibles. Aujourd'hui j'ai souvent dans ma tasse un liquide qui scandaliserait tout amateur qui se respecte — du café vraiment très léger, ou réchauffé, ou instantané, ou même (horribile dictu) du décafféiné. Du coup j'ai bien aimé cet article un brin sentimental et manifestement pré-Covid sur les vertus du mauvais café :

Ces derniers temps, quand je bois du café de luxe, je réagis comme un enfant qui avalerait une gorgée de vin en croyant boire du jus de raisin. Je ne sais pas depuis quand ça dure, mais j'ai développé une passion inattendue pour le mauvais café. Et ça ne s'arrête pas au café instantané que j'attends avec impatience chaque matin, non, j'aime tous les cafés médiocres que je rencontre (j'écris ceci en buvant le café aqueux d'une vieille boutique de pancakes, près de mon bureau de Little Italy).

[The case for bad coffee]