Ces dernières semaines je n’ai guère eu de temps pour les newsletters, parce que j’ai beaucoup bossé pour le zine de Climax, que je vous recommande vivement de précommander (franchement c’est déjà un succès et c’est cool, mais si on passe 500 abonnés on commence direct le suivant).
J’y ai notamment écrit un papier sur le permacomputing et un sur les solarpunks, qui complètent et approfondissent le dernier Kimchi Overdose. Globalement c’est ça qui me trotte dans la tête en ce moment : concevoir dès maintenant, dans un âge d’abondance à crédit, les objets qui nous seront utiles le jour où on recevra la facture.
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Je me demande comment ma maison sera quand il fera 45° l’été, comment on fera pour dormir. On a isolé au mieux toiture, fenêtres et murs, mais ça ne suffira pas, la baraque a plus de 100 ans et on partait vraiment de loin (Nutriscore E).
Purée j’ai trouvé l’instrument d’écriture ultime, exactement le format dont je rêvais, un écran monochrome et un port pour carte mémoire et tout, des jours entiers de batterie sur quelques piles AAA et… c’est inutilisable.
Un sympathique illustrateur qui vit au Japon et partage la même obsession que moi pour ce genre d’engins en donne un bon aperçu, et le problème est que la machine date de 1997, et qu’elle conçue avant tout pour imprimer du texte. Les fichiers sont enregistrés dans un format bizarre, avec des retours à la ligne correspondant à ce qui est affiché à l’écran. Du coup même en imaginant que je pourrais m’accomoder des menus et des touches en japonais, ce ne serait pas très utile.
Ma quête continue.
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