Cette semaine ce sera sûrement un peu plus moins chiadé que d’habitude : de gros travaux ont commencé sans crier gare dans ma maison, et j’ai donc dû déménager en catastrophe avec ma petite famille. Tout va bien, hein, mais disons que j’ai été un peu accaparé ces derniers jours et que je suis dans un état de fatigue avancé.
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Pour vous tenir au courant de l’avancée de mes divers projets :
- Les texte du zine de juin sont bouclés, il faut juste que je trouve le temps de faire la mise en page. Il n’y aura rien de très expérimental parce que je bosse sur mon pauvre iPad et que j’imprimerai dans une boutique de reprographie, mais je tâcherai de faire ça proprement quand même.
- À vrai dire ce sera comme ça pour les numéros de juillet et août aussi — je serai en vadrouille avec mon vélo et je ferai avec les moyens du bord. Pour être tout à fait honnête avec vous, c’est quelque chose que j’ai envie d’essayer depuis très longtemps.
- Pour la rentrée, je suis en train de faire une candidature pour une résidence aux Chaudronneries de Montreuil, souhaitez-moi bonne chance.
- À la rentrée aussi, je risque de re-migrer les newsletters vers une autre plateforme, encore, et de changer les formules d’abonnement (plutôt pour baisser les prix, rassurez-vous).
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En ce moment je rejoue à Hyper Light Drifter sur Switch, avec mon fils. C’est un de mes jeux favoris de ces dernières années et j’ai soudain eu envie de m’y replonger — si vous ne connaissez pas, c’est un jeu manifestement inspiré des vieux Zelda vus de dessus, avec un système de combat très dynamique, qui évoque plutôt Diablo, et une esthétique ouvertement rétro, mi-synthwave mi-Ghibli.
Le jeu est muet et son histoire un peu opaque : l’univers qu’on traverse semble se reconstruire doucement après avoir été dévasté par des sortes de titans dont on peut voir, parfois, les cadavres immenses. Le héros est manifestement malade et a des visions cataclysmiques qui le submergent : il voit les titans hideux qui ravagent le monde à nouveau, et une sorte de chacal mystique semble le charger d’aller les combattre.
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