Le week-end dernier, j’avais envie de me détendre un peu alors j’ai regardé Until the wheels fall off, un documentaire où Tony Hawk fait son The Last Dance, avec peut-être un peu plus d’honnêteté et d’auto-critique que Michael Jordan. À vrai dire, le skate à haut niveau semble être nettement meilleure ambiance que le basket, moins pro évidemment, plus bordélique, plus instable. Il y a moins de règles et beaucoup moins d’argent, donc les compétiteurs semblent être là pour l’amour du beau jeu plutôt que strictement pour gagner.

Je ne savais à peu près rien de l’histoire du skate depuis 1980 donc j’ai appris plein de trucs, mais le moment que je retiens, c’est Rodney Mullen (qui s’exprime avec autant d’élégance qu’il skate, ce qui n’est pas peu dire) expliquant qu’il y a quelque chose de l’ordre de l’expression corporelle, de la danse, dans la manière de chacun de faire du skate.

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